Reprise du procès des militaires qui voulaient attaquer la maison d'arrêt et de correction des armées, après deux semaines de suspension suite au départ des avocats de la défense qui voulaient mieux s'imprégner du dossier.
Le caporal Madi Ouedraogo et 27 autres personnes sont poursuivies pour « détention illégale d'armes à feu, de munitions de guerre et d'association de malfaiteurs ». En décembre 2015, ils ont été arrêtés au cours d'une réunion. Selon les autorités de la transition, ils préparaient une attaque contre la maison d'arrêt et de correction des armées en vue de libérer les généraux Gilbert Diendéré, Djibrill Bassolé et d'autres militaires incarcérés dans le cadre du putsch de septembre 2015.
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