L'Ouest du Cameroun vit toujours sans Internet. Les connexions sont coupées depuis le 17 janvier, depuis l'interdiction de deux mouvements anglophones qui avaient appelé à des manifestations et des journées « ville morte ». Une sanction qui a un coût financier certain pour les particuliers et les entreprises.
L'absence de réseau ne pèse pas seulement sur les échanges entre les habitants, elle pèse aussi très lourd sur l'économie, selon Internet sans frontières. « Concrètement ça pèse d'abord évidemment sur les entrepreneurs et notamment ceux de la ville de Buéa, que l'on appelle la Silicon mountain », explique à RFI Julie Owono, responsable Afrique de l'organisation Internet sans frontières.
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