A Banjul, pour la quatrième fois, neuf anciens agents de la NIA, les services de renseignements de l'ancien dictateur Yahya Jammeh, se retrouvent devant la justice. Arrêtés mi-février, ils sont poursuivis par l'Etat gambien notamment pour le meurtre de Solo Sandeng, un opposant politique mort en détention en avril 2016.
Un procès symbolique pour la population gambienne, qui a vécu sous la terreur de cette institution pendant plus de 20 ans. Mais ce procès n'arrive pas vraiment à démarrer, faute d'investigations et de preuves suffisantes. La juge a déjà prononcé trois renvois. Une situation emblématique des difficultés à mettre en place une justice post-Jammeh.
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