« C'est dans la tourmente que l'on reconnaît ses vrais amis ». C'est sans doute ce que se dit actuellement in petto le président burundais, Pierre Nkurunziza, qui, lâché de toutes parts par la communauté internationale, vit depuis près de deux ans comme un pestiféré. Car, échaudé par le coup d'Etat manqué du Général Godefroy Nyombaré, l'homme fort de Bujumbura a limité drastiquement ses déplacements hors du pays.
Et des visites de très haut niveau, il en reçoit très peu dans son palais. Peut-être est-ce pour cette raison que le séjour du vice-président chinois, Li Yuanchao, est qualifié « d'historique » par le ministre burundais des relations extérieures.
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