A l'occasion, Hela Chikhrouhou a donné des chiffres peu satisfaisants sur le secteur des hydrocarbures. Elle note que pour cette année, la production ne dépassera pas, dans le meilleur des cas, 4,5 millions de barils, alors que la Tunisie avait auparavant atteint le chiffre de 7 millions. Elle explique enfin que la part de l'Etat varie entre 75 et 82% du total des revenus du pétrole et 65% pour le gaz.
«Le nombre de permis est passé de 50 à 20, alors que le nombre de puits est passé de 38 à 3 seulement en quelques années», affirme-t-elle. Selon elle, cela est non seulement consécutif à la baisse des cours mondiaux du pétrole, mais également au flou qui entoure le cadre juridique et à l'instabilité du climat social.
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