Depuis que le Burundi est en crise, puis sous sanctions financières, Bujumbura brille par sa surenchère verbale, le « terrorisme » étant devenu l'un des mots-clés, car utilisé à tout-va, du moins selon le blogueur Moise Bukuru.
Des tweets à l'emporte-pièce, parfois des insultes et calomnies,... , Bujumbura semble vociférer sur « tout le monde ». Et l'on est tenté de penser, à tort, que les réseaux sociaux constituent pour les Burundais une carte blanche, un défouloir, un comptoir de « Chez Gérard » (un célèbre bar de Bujumbura), le seul endroit où les propos, distillés sous l'effet de la mousse, sont classés sans suite.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article