S'il n'existe pas au Burundi de ghettos à proprement dire, certains milieux défavorisés de Bujumbura (ou d'autres villes du pays) se prêtent presque à cette définition. Conséquences, les jeunes de ces quartiers semblent condamnés à l'avance à une vie misérable. Explications du blogueur Yves Irakoze.
Le Burundi n'a pas encore ses «quartiers difficiles » ou ses « zones d'éducation prioritaires ». Le pays n'a en effet jamais connu d'émeutes de la faim, du chômage, ou suite à une bavure policière dans un quartier. Jusque-là. Mais cela ne saurait tarder au rythme actuel des inégalités dans l'accès à une éducation de qualité mais aussi et surtout à des « role models » qui inspirent les plus jeunes.
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