En Mauritanie, le bras de fer entre le pouvoir et les opposants qui ont refusé la réforme constitutionnelle validée par référendum le 5 août se poursuit.
Le parquet vient de faire appel de la décision du juge qui, vendredi matin, avait décidé de ne pas mettre sous mandat de dépôt deux sénateurs, comme le demandait le procureur. Les deux élus que le juge avait choisi de placer seulement sous contrôle judiciaire seront donc convoqués à nouveau lundi matin 4 septembre au palais de justice. Dans ce même dossier un sénateur d'opposition et un militaire ont été mis sous mandat de dépôt vendredi, trois journalistes, la directrice d'un site internet, et deux leaders syndicaux sous contrôle judiciaire.
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