Il y a à peine trois semaines, Ecobank Burundi a annoncé la suppression de 70 postes. Parmi les raisons avancées, la digitalisation. À notre contributeur Pierre Claver Banyankiye de se demander si la machine serait en train de remplacer l'homme, condamnant ce dernier à un chômage inattendu.
Le raz-de-marée digital a donné naissance à un nouveau genre de licenciements qu'on pourrait appeler le chômage « technologique », terme inhabituel au Burundi. Chez nous, les banquiers sont réputés avoir un emploi stable. Ces employés jadis intouchables sont pourtant maintenant dans la rue. « La digitalisation » les a pris au dépourvu. Incompréhension totale face à cette rupture soudaine et inattendue du travail.
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