Le thé issu des plantations locales est insuffisant. Cette année encore, les opérateurs sont contraints d'importer plus de 200 tonnes de thé pour pallier ce manque. C'est ce qui a été dit lors d'un atelier de travail sur l'avenir du secteur théier, la semaine dernière à Nouvelle-France.
Asvin Bokoree, Managing Director de La Chartreuse, souligne que l'importation était inévitable pour la saison qui débute. D'ajouter qu'à la longue, 300 à 400 tonnes seront nécessaires pour satisfaire la demande locale. Malgré une hausse de moins de 1 % de la superficie de culture de thé, La Chartreuse s'attend à une production de 725 tonnes. Soit une hausse entre 12 % à 15 % comparé à 2016.
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