Faisant un lien entre la non-organisation des élections dans le pays et les violations enregistrées des droits reconnus aux citoyens, le président de l'Association africaine de droits de l'homme (Asadho) a pensé que le président de la centrale électorale de la RDC serait l'une des personnalités contre laquelle il fallait une mobilisation pour qu'elle soit frappée par les prochaines sanctions ciblées.
Dans ses pages d'opinions libres du 3 octobre, le président de l'Asadho, Me Jean Claude Katende, a indiqué que le président de la Céni, Corneille Nangaa, « devra être tenu comptable de tous les Congolais qui sont arrêtés et ceux qui sont morts en rapport avec l'organisation des élections en RDC ».
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