Près de 20 000 en 1962 contre 570 000 en 2004. Un chiffre multiplié par 24 en quatre décennies. A quoi renvoient ces chiffres présentés aux participants à la 7e session régionale de l'Ecole citoyenne et politique de Yaoundé (ECPY) dont les travaux ont pris fin hier dans les locaux de l'Institut des Relations internationales du Cameroun (IRIC) ?
Il s'agit simplement du nombre d'immigrés en provenance d'Afrique subsaharienne vers la France. Des chiffres qui ne prennent donc pas en compte les personnes se trouvant dans la même situation dans d'autres pays du Vieux continent. « La quête d'un mieux-vivre justifierait la décision de quitter sa terre natale pour s'installer dans un pays étranger », a-t-on entendu.
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