Les citoyens ont le droit d'être informés sur tout ce qui se passe dans le pays, sur tous les aspects de la vie politique, économique et sociale. Pour qu'ils puissent se faire une opinion.
A l'instar des associations et formations politiques, le SeFaFi a également son mot à dire concernant notamment l'épidémie de peste. Il estime ainsi qu'il est trop facile de pointer du doigt les journalistes et les facebookers, puis de les accuser d'être à l'origine de la psychose, même s'il faut mettre chacun devant ses responsabilités. Et d'ajouter qu'«un climat de frayeur et d'affolement s'est instauré et s'est aggravé, face aux défaillances du système de communication publique et à l'inertie des pouvoirs publics. Situation que l'Etat aurait pu éviter en tenant le public informé et en prenant les devants par des mesures d'urgence appropriées pour limiter la propagation de la maladie. Désemparée, la population s'est préparée au pire, allant jusqu'à pratiquer des automédications distillées de bouche à oreille ».
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