Proche d'un ministre de Paul Biya en disgrâce, Abdoulaye Harissou crie son innocence depuis 2014. Les chefs d'accusation qui l'accablaient viennent d'être requalifiés.
L'audience s'est achevée à 4 heures et demie du matin au tribunal militaire de Yaoundé, capitale du Cameroun. Lundi 9 octobre, comme depuis trois ans, Me Abdoulaye Harissou n'a cessé de clamer son innocence. Accusé d'« outrages au président de la République », « hostilité contre la patrie et révolution », « assassinat », « détention et port illégal d'armes et de munitions de guerre », ce notaire âgé d'une soixantaine d'années risquait la peine de mort.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article