Apparemment, ces jours-ci, les Burkinabè n'ont pas le temps de parler de la situation sécuritaire dramatique au Sahel ou de leur pauvreté.
Cela me surprend quand même ! On dit toujours que ventre creux n'a point d'oreilles mais, dans ce pays-là, quand la politique s'en mêle, même ceux qui restent une semaine sans manger, deviennent des animateurs de conférences dans les kiosques, les cabarets, les services, entre autres. Deux évènements politiques m'amènent à tenir de tels propos.
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