Depuis l'ouverture du procès du F/CFA, seuls deux officiels français se sont exprimés. Pour eux, la France ne tirerait aucun avantage de la coopération monétaire, ce mariage forcé, avec ses ex colonies. Elle supporterait plutôt des sujétions, les appuis budgétaires.
Les leaders politiques africains ne sont pas restés muets sur le sujet. Pour certains, la zone CFA serait relativement stable. Toutefois, ils estiment que la pauvreté chronique dont le taux est passé de 10% en 1980 à 38% en 2010 reste une préoccupation pour leurs Etats.
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