Déplorant leurs dures conditions de travail et de vie, Ahmath NDIAYE, contrôleur, dénonce : «On a vécu 12 ans de misère avec le CAPTRANS qui nous sanctionne à sa guise et nous fait des ponctions de salaires sans justification, en l'absence de nos délégués.
On nous ponctionne chaque mois 5 000 francs pour le compte de Transvie, la mutuelle de santé des transporteurs qui n'a aucun intérêt pour nous car nos patrons fuient leurs responsabilités. De plus, quand nos sœurs tombent enceintes, elles sont renvoyées».
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