Les avocats de l'ex-ministre et opposant André Okombi Salissa, inculpé depuis près d'un an pour atteinte à la sûreté de l'Etat, se disent indignés par l'interruption de leur conférence de presse avant même qu'elle ne débute jeudi 30 novembre. Dans un communiqué diffusé ce vendredi 1er décembre, ils dénoncent «des violences inacceptables dans un Etat de droit».
Journalistes molestés, pneus de voitures crevés... pour les avocats d'André Okombi Salissa il y a eu jeudi 29 novembre une volonté claire de museler la défense et la presse.
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