L'Italie pointée du doigt par L'ONU pour ses accords avec Tripoli visant à freiner drastiquement les départs de migrants via, notamment, de copieux financements et la formation de garde-côtes libyens, n'est plus le pays de l'accueil généreux, tel qu'on a pu le connaitre. Même si les médias nationaux se font, jour après jour, les porte-paroles des ONG et autres témoins d'une situation insoutenable. On observe qu'il n'y a pas d'indignation généralisée face au sort des migrants-esclaves, soumis à la torture et au racket en Libye.
En Italie, Il n'y a pas besoin de photos et vidéos pour s'indigner de la situation dans les camps libyens. Les ONG, comme les médecins, sont les premiers témoins directs des sévices subis.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article