«Énième» un qualificatif qui va de pair avec «kidnapping» à Madagascar. Ce n'est pas le seul mot ni expression devenu familier quand on aborde ce « sujet brulant ». «Sport national», «Karana», «communauté d'origine indienne», «4 x4» et «enfant» sont aussi dans la longue liste des rhétoriques. Chaque scène est tout un film digne de longs métrages de Hollywood, Boly Wood. On pourrait même en faire une série télévisée vue qu'on ne compte pas moins de la centaine d'enlèvements. Ceux qui font la grande gueule sur les réseaux sociaux développent chacun leurs théories mais le fait est que le racisme envers la communauté Karana est une réalité criante malgré l'hypocrisie de façade.
Attirons l'attention sur deux, trois «détails» qui fâchent. Listons-les: «lourdement armés», «s'est abstenu d'apporter des précisions sur les circonstances», «unité spéciale anti-kidnapping». Coïncidence ou mode d'opération uniforme, les malfaiteurs sont tous, sans aucune exception, des bandes organisées qui possèdent des armes d'assaut. Fait ne permettant pas ou intimidant les forces de l'ordre et autres personnes à agir au moment des opérations. Tout le monde le sait ou on le fait savoir à tout le monde. Mais d'où viennent les armes ?
...