La violence appelle la violence en Libye, dans un cycle qui paraît sans fin, après le double attentat de mardi soir 23 janvier à Benghazi qui a fait plus d'une centaine de morts et de blessés devant une mosquée dans un quartier populaire de la ville, dont, parmi eux, un haut responsable de l'armée nationale libyenne.
Dix islamistes extrémistes qui se sont faits prisonniers par cette armée ont été exécutés mercredi par un officier bien connu de l'armée libyenne.
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