Macron, on en parle encore. On en a parlé même au détriment de l'actualité. De «la journée de la colère» par exemple, quasiment ignorée par nos télévisions. Ou encore de la condamnation de Borhane Bsaïess, «mise sous l'éteignoir». Biffée. Il faudra revenir sur ces deux «oublis».Ils ne doivent rien à notre avis à la présence du président français. Des «dessous» paraissent possibles. On en dira deux mots.
A propos de Macron à Tunis, l'étonnement persiste : pourquoi cet enthousiasme ? Pourquoi ce déferlement ? A l'exception des trois premiers de la «cinquième», De Gaulle, Pompidou et Giscard, tous les chefs de l'hexagone nous ont rendus visite. Bel accueil, bon accueil, pas plus, pas moins. Là, on s'accorde, tous : c'est du jamais vu !
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