À en croire la Commission internationale du bassin Congo-Oubangui-Sangha (Cicos), l'onde du sahel descend dans la partie nord de l'Oubangui. La conjonction de plusieurs facteurs majeurs peut mettre, chacun séparément, à mal notre mode de vie : « Il y a de moins en moins de précipitations, ce qui entraîne moins de ruissellement d'eau ».
Selon une enquête des experts de la Cicos, au sud de Lubumbashi dans le Katanga (Rdc), le bassin est également pris en étau. D'après les indicateurs, on enregistre que très peu de précipitations. Pour toute une année, on note que deux à trois mois de pluie. Au Katanga, le débit de Mfira a considérablement baissé. Face à cela, la Cicos joue le rôle d'autorité du bassin du Congo. Elle mène actuellement une réflexion en vue d'élaborer des moyens, des outils de suivi de cette ressource pour connaître son comportement.
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