Proparco est présent en Afrique centrale depuis 2003. Quel est le bilan et quels sont les impacts directs de ses actions sur le secteur privé en Afrique centrale et particulièrement au Cameroun ?
L'Afrique centrale illustre parfaitement la diversité des secteurs dans lesquels nous intervenons. Nos secteurs d'activités prioritaires dans la région sont le secteur financier et bancaire (46% de nos engagements), le secteur de l'énergie (16%), le secteur du transport, de la gestion des déchets et des télécoms (29%) et le secteur des entreprises agro-alimentaires (8 %). Au Cameroun, nous accompagnons par exemple le secteur électrique et des énergies renouvelables avec ENEO mais aussi le secteur de l'assurance, en étant présent au capital d'Activa, ce qui permet de couvrir aussi bien les grands projets d'infrastructures que les particuliers, y compris les populations défavorisées. Nous soutenons également le secteur de l'éducation via notre participation au capital d'ENKO éducation qui a ouvert deux écoles à Douala et Yaoundé pour préparer les étudiants au Baccalauréat International, un tremplin vers les grandes universités mondiales. Notre dernière signature au Cameroun illustre également le panel d'outils financiers que nous pouvons proposer aux acteurs privés : au-delà des prêts et des prises de participation, Proparco peut également apporter une garantie de solvabilité ou de liquidité.
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