Du fait des importations massives de sucre et de la contrebande, la société éprouve du mal à écouler ses stocks.
Les faits : des importations massives au port de Douala, la contrebande dans les régions septentrionales, la vente en l'état des produits destinés à la transformation créant une distorsion de concurrence, le non respect du cadre réglementaire établi par l'Etat camerounais. Une conséquence: la crainte d'une asphyxie des activités à la Société sucrière du Cameroun (Sosucam).
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