A Madagascar, la tension reste vive, depuis la répression des manifestations de l'opposition par le pouvoir. En effet, après les mouvements du 21 avril dernier qui ont fait trois morts et de nombreux blessés, l'opposition malgache était, pour la quatrième fois, dans la rue le 25 avril 2018.
Mais, ne voulant pas se laisser conter fleurette, le pouvoir, qui a joué la carte de la fermeté, n'entend pas reculer face aux revendications de l'opposition qui est vent debout contre le vote controversé de lois électorales à l'Assemblée nationale, qui, selon elle, viserait, entre autres, à écarter certains de leurs candidats à la présidentielle, en l'occurrence les anciens présidents Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina.
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