Présent dans la capitale belge(Bruxelles) dans le cadre de la campagne internationale sur le SIAO, le ministre du commerce, de l'industrie et de l'artisanat, Harouna Kaboré a échangé avec des personnalités et des institutions sur les affaires au Burkina Faso.
« J'ai rencontré le ministre Harouna Kaboré parce que mon cabinet offre des programmes gratuits à l'attention des pays en développement, notamment africains, afin de les représenter dans les négociations internationales au sein des Nations Unies, dans le cadre des reformes des mécanismes d'arbitrage et d'investissement ». Ce sont des rencontres qui se tiennent deux fois par an, et ce cabinet apporte son expertise juridique aux pays ciblés. Aux dires de son premier responsable, Me QUENTIN DECLEV avocat au barreau de Bruxelles, ces reformes auront des conséquences à très long termes, d'où l'intérêt de ce programme. « Le Burkina Faso fait partie des pays susceptibles d'accueillir de plus en plus d'investissements dans les prochaines décennies », a indiqué Me DECLEVE.
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