Les observateurs de la scène politique congolaise sont perplexes. A deux mois de la date du dépôt des candidatures à la présidentielle du 23 décembre 2018, ils sont stupéfaits par la teneur du discours politique en vogue dans le pays.
Chaque jour qui passe, un sujet de nulle part enflamme les débats. Si ce n'est pas Katumbi que l'on mange à toutes les sauces, c'est la Constitution qui aurait bougé dans ses dispositions les plus intangibles. Le débat sur le dauphin de l'actuel Chef de l'Etat serait ainsi clos parce qu'un jeune juriste, peine sorti de la faculté de droit, aurait découvert dans la loi fondamentale une faiblesse qu'aucun constitutionnaliste de renom n'avait jusque-là décelé !
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