«Il n'existe pas d'agent littéraire dans nos pays. Il faut ces personnes-là pour manager les écrivains afin que ces dernier « vendent » et proposent les œuvres de leurs écrivains aux producteurs de cinéma et autres personnes exerçant dans le domaine du livre», a suggéré M. Sy Savané.
« Dans leurs cahiers de charges, les télévisions nationales ont l'obligation de faire la promotion de la lecture. Malheureusement, aujourd'hui, c'est la musique qui occupe la majorité des programmes. Tout simplement parce que les annonceurs préfèrent ce genre d'émissions qu'ils jugent avoir une forte audience », a fait remarquer, ce samedi 19 mai, Ibrahim Sy Savané, président de la Haute autorité de la communication.
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