L'étau se resserre autour de deux cadres d'un important groupe bancaire du pays. Ils sont impliqués dans l'allocation d'un prêt de Rs 7 milliards à un consortium kenyan ; seulement 50 % de cette facilité bancaire bénéficie d'une garantie par ce dernier, à travers des dépôts en dollars américains. Aussi étrange que cela puisse paraître, alors que la différence, Rs 3,5 milliards, disposait d'une hypothèque, celle-ci n'a pas été exécutée par cette banque qui a tout simplement oublié de l'enregistrer.
Face à cette légèreté de la part de la banque domestique, ses hauts cadres ont multiplié les déplacements au Kenya, la semaine dernière, pour convaincre le client kenyan de respecter son engagement, en garantissant ses actifs. Une manière pour cette banque de sauver les meubles. Ce que le consortium kenyan a accepté.
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