Il y a deux ans et demi, l'assassinat du doctorant italien Giulio Regeni en Egypte avait provoqué l'émoi de la communauté scientifique internationale et inauguré une longue crise diplomatique entre Le Caire et Rome. Mais cette vague d'indignation a peu bénéficié aux chercheurs sur le terrain.
Le quotidien de ceux travaillant sur des sujets sensibles reste rythmé par les restrictions, les intimidations, quand ils ne risquent pas la prison. Or, en Egypte, difficile désormais de déterminer où se situe la ligne rouge.
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