Jean Malonga, Bernard Bouya et Mathurin Menga. Trois notables de Poto-Poto décédés, à quelques mois d'écart, il y a plus de trente ans.
C'est toute une époque qui s'en est allée avec eux. Poto-Poto, autant que je m'en souvienne, était un havre de paix. Un village policé. Le respect était la règle. La solidarité, une pratique sociale assumée. Ces notables étaient affectueusement appelés «vieux». Chacun d'eux a, d'une manière ou d'une autre, marqué la vie de Poto-Poto.
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