Sur le parvis, l'éclairage est réussi, un dais abrite un orchestre qui s'entraîne et aide à patienter.
A l'intérieur, changement d'atmosphère : la climatisation est flambant neuve, les sièges alternent avec des tables et des podiums joyeusement envahis. Le public est curieux, attentif, on fait taire les enfants à renfort de grands chuts autoritaires. Le metteur en scène, Bahram Alaoui, nerveux, arpente la scène à grands pas, parle au téléphone.
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