Ce lundi 16 juillet, les forces vives ont souhaité une journée ville morte en réaction à la sourde oreille du gouvernement sur la hausse unilatérale du prix du carburant.
A Labé, la morosité est à couper au couteau. Stations de carburant, garages et commerces sont restés fermés même dans les quartiers et l'absolue majorité des institutions bancaires ont suivi l'inactivité à l'exception de la société générale et de la BICIGUI qui offraient un service minimale quand bien même que la FESABAG ait explicitement annoncé qu'elle n'est pas solidaire au mouvement de grève.
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