Longtemps adulé par les automobilistes, le produit entame son déclin en Occident particulièrement, où il représente moins de 45% des ventes de voitures neuves depuis quelques années, alors qu'il y a peu de temps encore, il représentait 56% des ventes automobiles en Europe. Cette désaffection fait suite non seulement au scandale du « dieselgate » mais aussi à la multiplication d'études concluant à la grande nocivité de ce carburant.
Ce qui conduit les constructeurs à revoir leur stratégie en matière de motorisation. Le dernier exemple en date est celui de la marque « Toyota » qui annonçait, au début de cette année, son intention d'abandonner totalement cette technologie dès l'an prochain pour sa gamme de voitures particulières.
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