A une semaine jour pour jour du référendum visant à changer la Constitution des Comores, le climat de campagne est tendu. Un des vice-présidents des Comores a échappé dans la nuit de samedi à dimanche à une attaque à l'arme automatique.
Le président Azali Assoumani a invité ses opposants à faire campagne pour le « non » » et leur a donné rendez-vous dans les urnes. Un processus biaisé d'avance, répondent-ils, criant à la mascarade en l'absence de Cour constitutionnelle. Ils mènent donc une autre campagne : ne pas reconnaître ni participer au moindre scrutin sans cette cour arbitrale.
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