Le talent de Melhem Zein est, en tout cas, à la hauteur du Festival international de Carthage. Le chanteur l'a prouvé jeudi dernier en quantité et en qualité.
Les cinq albums à son actif, depuis ses débuts professionnels en 2014 avec «Enti mchiti» et jusqu'au dernier en 2017 «El Jereh Ely Baadou», témoignent de la continuité et de longévité de sa carrière, qui lui assure un succès constant, mais une image d'artiste plutôt discret. Cela peut paraître contradictoire, mais c'est l'une des facettes de la scène de la variété arabe, où il faut trouver un juste milieu entre le caractère de l'artiste et les exigences d'une industrie.
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