Aux Comores, les trois opposants recherchés durant la vague d'arrestations consécutive à l'attaque du militaire grièvement blessé le jour du référendum, sont sortis du silence, jeudi 9 août. Ils affirment avoir été protégés au PNUD de Moroni durant huit jours. Des discussions avec les autorités comoriennes ont été menées pour s'assurer qu'il n'y aurait pas d'arrestation arbitraire.
Les députés Tocha et Mhadji ainsi qu'Idi Boina, tous trois opposants et recherchés par la police, sont allés dénoncer les risques d'une justice expéditive au PNUD de Moroni et demander une protection.
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