Dans une déclaration commune publiée le 13 août, les candidats de la famille politique à la magistrature suprême ont formulé quelques préalables avant les élections de décembre dont le retrait de la machine à voter, le nettoyage du fichier électoral et la libération de tous les prisonniers politiques ainsi que des militants des mouvements citoyens Lucha et Filimbi.
En attendant la publication par la Commission électorale nationale indépendante (Céni) de la liste définitive des candidats à la présidentielle de décembre, des tractations se poursuivent au niveau de l'opposition pour désigner un candidat commun pouvant la représenter à ce challenge électoral. C'est tout le sens à accorder à la réunion du13 août qui a mis autour d'une table quelques leaders de cette famille politique ayant postulé à la magistrature suprême du pays. Cette première rencontre devrait appeler d'autres pour qu'au bout des concertations, un consensus soit finalement dégagé autour d'un candidat unique qui portera le programme commun de gouvernance de l'opposition.
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