Dans une interview exclusive ci-dessous reprise accordée à La Prospérité mercredi 15 août 2018 à Kinshasa, Aline Engbe, journaliste de son état, axe son combat, une fois élue, pour un Congo nouveau et libre où doit régner, désormais, la justice distributive qui reste le socle de tout développement d'une nation. Elle envisage, en plus, "un Congo dont l'essor doit bénéficier au maximum des apports des jeunes et femmes. Un Congo dont le Parlement doit être un lieu redoutable pour les mauvais gestionnaires et les violateurs des droits humains. Un Parlement qui ne doit pas être une caisse de résonnance du pouvoir, mais un lieu où les attentes du peuple doivent être au centre des préoccupations, des orientations politiques, du budget et des lois destinées non pas à assouvir les intérêts des gouvernants, mais plutôt à résoudre les problèmes du peuple". Victime de la guerre de six jours de Kisangani, Aline Engbe dont la candidature a été réclamée par les boyomais, laisse entendre la poursuite des démarches entamées pour l'indemnisation de toutes les victimes de cette tragédie vécue à Kisangani.
Chère consœur Aline Engbe, pouvez-vous nous confirmer que vous avez déposé votre candidature en tant que députée nationale à Kisangani ? Si oui, quel a été votre motivation ?
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