« Nous ne sommes pas marginalisés. Mais nous pensons et nous souhaitons vivement que l'on puisse laisser aux arrondissements la possibilité de mener leurs investissements ». Ces propos sont du maire de l'arrondissement 6 de la ville de Ouagadougou, Jean Nacoulma, que j'ai lus dans le journal « Le Pays » du 17 août 2018.
Ils ont suscité en moi un sentiment qui, je le sais, est partagé par beaucoup de Burkinabè. Il s'agit de cette affaire de centralisation du budget communal. J'ai écouté les gens par-ci par-là. Mais le sentiment général qui se dégage, c'est que beaucoup sont contre le fait que les maires d'arrondissements n'ont pas assez de marge de manœuvre. Ils n'ont pas les coudées franches pour agir sur le terrain.
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