Kinshasa — Les forces de sécurité gouvernementales en République démocratique du Congo ont fait usage de balles réelles et de gaz lacrymogènes pour disperser des rassemblements de l'opposition politique largement pacifiques lors du dépôt des candidatures au début du mois d'août 2018.
Les autorités ont également restreint les déplacements de leaders de l'opposition, arrêté des dizaines de partisans de l'opposition et empêché un aspirant candidat à la présidence, Moïse Katumbi, d'entrer dans le pays pour déposer son dossier de candidature pour l'élection présidentielle prévue plus tard cette année.
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