I l est à présent clair que, face à la crise israélo-palestinienne, Donald Trump ne réagit pas en arbitre et en chef de la première puissance du monde soucieux de rétablir la paix et de garantir la justice. Contrairement à certains de ses prédécesseurs, Jimmy Carter ou Bill Clinton notamment, il se présente comme partie prenante au conflit et fait preuve d'un parti pis clairement affirmé.
Israël peut désormais être considéré comme le 51e état des Etats-Unis, -(statut refusé à Porto Rico, où l'ouragan Maria avait fait non pas 64 mais 4600 victimes dont le sort avait laissé Donald Trump indifférent)- et le président américain défend les intérêts de l'Etat Hébreu avec la même énergie qu'il mettrait à préserver ceux de la Floride ou du Minnesota.
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