Un mandat d'arrêt international vient d'être émis contre le désormais ancien vice-président Ahmed Saïd Djaffar pour attentat et complot contre l'autorité de l'Etat. Elu en 2016 sur le ticket du président Azali, il s'était retourné contre lui six semaines avant un référendum constitutionnel, l'accusant de préparer un régime dictatorial. La nouvelle Constitution, adoptée depuis, prévoyait la disparition des postes de vice-président.
Le mandat d'arrêt international a été émis vendredi à l'encontre de l'ancien vice-président, soit quatre jours après qu'il a quitté le pays. Même s'il est motivé sur le papier, ce document soulève bien des questions. Quels sont les éléments à charge ?
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