Nos frontières sont-elles devenues poreuses, de sorte qu'on puisse les franchir sans coup férir ? La Tunisie, avec 1300 km de littoral, s'érige-t-elle en vaste couloir d'émigration clandestine, où ce trafic des personnes a bel et bien le vent en poupe ?
Aussi, les passeurs font-ils la loi ? Le problème est-il sécuritaire, politique, socioéconomique ou les trois à la fois? Le phénomène semble beaucoup plus complexe qu'on le croit. Sa résistance à toute forme de surveillance est telle qu'on ne peut plus gérer un tel flux migratoire. D'autant plus qu'on n'arrive guère à comprendre ce que demandent nos jeunes et pourquoi ils en sont arrivés là. Leur défiance les a poussés à prendre le large, à leurs risques et périls.
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