C'est un pallier de plus qui a été franchi dans la nuit du vendredi au samedi derniers dans la dégradation de la situation sécuritaire à l'Est du Burkina Faso, avec l'assassinat de neuf personnes dans deux attaques distinctes mais vraisemblablement coordonnées et perpétrées par des « escadrons mobiles de la mort », dans la province de la Kompienga.
Au regard du mode opératoire et des cibles visées, on peut penser qu'il s'agit d'une duplication dans la partie Est de notre pays, des scènes d'horreur enregistrées au Sahel depuis 2016, avec les très verdoyantes provinces de la Tapoa, de la Komondjari et de la Kompienga comme épicentres de cette crise sécuritaire.
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