Certes, il en existe beaucoup d'autres, mais ceux-ci sont les plus ravageurs, tant ils semblent faire la paire. Il suffit de mettre le pied dans une librairie, ou dans les grandes surfaces qui, à l'occasion, se munissent des fournitures scolaires, sans parler des magasins de fortune qui apparaissent à l'occasion, pour se rendre compte du décalage existant entre la bourse des parents et les prix affichés.
On nous parle de remises, d'offres et bien sûr de « cahiers subventionnés par l'État », mais il n'en est rien ou presque, vu l'existence d'un véritable marché parallèle relevant lui-même de tout un commerce parallèle. Il y a un rapport de cause à effet entre tous les phénomènes de société et il suffit qu'un maillon soit touché par la rouille pour que toute la chaîne le soit. Le phénomène que nous décrivons ne concerne pas seulement le ministère du Commerce, il concerne aussi les ministères de tutelle, à savoir l'Education et l'Enseignement supérieur.
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