Le monde entier a célébré le 11 octobre 2018, la journée internationale de la jeune fille. A cette occasion, Madame Stéphanie Bola, chargée des programmes du Forum des défenseurs et des organisations des personnes handicapées en Afrique Centrale (FOPHAC), Secrétaire provinciale de département des femmes, enfant et famille de Kinshasa à la Fédération nationale des associations des personnes vivant avec handicap du Congo (FENAPHACO), Assistante premier mandat à l'UPN, n'a pas manqué de livrer l'économie de ses idées sur ladite journée et la situation de la jeune fille, en particulier, et de la femme face à la problématique de la parité effective, en général. "L'égalité des sexes ne doit plus être qu'une vision livresque, mais plutôt un fait, faisons en un combat de chaque jour, pour atteindre des résultats concrets. Et, la RDC étant membre de l'ONU, doit prendre des mesures spéciales pour éliminer le viol et toutes les formes de violence sexuelle dans les situations de conflits, conformément aux prescrits de la résolution 1820 du Conseil de Sécurité des Nations Unies ", a-t-elle confié à la presse.
Il faudra retenir que le thème de cette journée aura été : "égalité fille et garçon". Le fait que l'ONU ait décrété cette journée, selon Madame Stéphanie Bola, doit permettre une prise de conscience au niveau de l'opinion publique et les autorités doivent permettre un accès à l'éducation, qui est un instrument puissant, soit effectif pour les garçons que les filles. "L'éducation est un moteur de développement et de lutte contre la pauvreté dans un pays. L'éducation des filles est le moteur du changement mondial", a dit Madame Stéphanie Bola.
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