La première pierre a été symboliquement déposée lundi 15 octobre, à l'occasion du 31e anniversaire de l'assassinat du père de la révolution burkinabè. La cérémonie s'est déroulée sur le lieu même où le capitaine Thomas Sankara et douze de ses compagnons ont été tués.
Selon Abdoul Karim Sango, le ministre burkinabè de la Culture, des arts et du tourisme, la pose de la première de la stèle est la preuve que Thomas Sankara, le grand panafricaniste n'est pas mort. Il considère comme un devoir d'œuvrer « constamment à entretenir l'idéal défendu par le président, et pour lequel il a sacrifié sa vie ».
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