En Algérie, c'est la crise au Parlement. L'Assemblée populaire nationale, qui comprend 462 députés, est paralysée depuis plus de trois semaines. La raison ? Les députés de la majorité demandent le départ du président du Parlement. Et ce dernier refuse.
La porte du Parlement est fermée à l'aide de chaînes et de cadenas, et des députés manifestent devant l'entrée. La scène, inhabituelle, est le dernier épisode d'un feuilleton qui dure depuis presque un mois. Le personnage principal en est Saïd Bouhadja, président de l'Assemblée populaire nationale. Cet homme, qualifié «d'apparatchik» par la presse, n'avait jamais vraiment fait parler de lui avant cette affaire.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article